Dans l’univers de Gotham, le mal ne vient pas toujours d’où on l’attend.
Et parfois, le pire ennemi du Chevalier Noir n’est pas un criminel masqué… mais un allié de l’intérieur.
C’est la théorie qui fait frissonner les fans de The Batman depuis quelques semaines.
Un personnage central du premier film, adoré pour son intégrité, sa loyauté, son humanité, pourrait jouer un rôle-clé dans la chute de Gotham… sans même en être conscient.
Et ce personnage, c’est James Gordon.
Une confiance aveugle… et dangereuse
Dans le premier opus de Matt Reeves, Gordon est le seul à croire en Batman.
Il l’introduit sur les scènes de crime. Il le protège. Il agit avec lui, dans l’ombre.
Mais à y regarder de plus près, cette relation repose sur une confiance totale… presque naïve.
Or, dans une ville rongée par la corruption, cette confiance pourrait être exploitée.
“Gordon est un homme droit. C’est ce qui fait sa force… mais aussi sa faiblesse dans un univers comme Gotham”, résume un analyste sur Reddit.
Une possible manipulation à grande échelle
Plusieurs théories s’accordent à dire que Gordon pourrait être utilisé, manipulé, infiltré par une entité plus grande.
La plus probable ? La Cour des Hiboux, organisation secrète souvent tapie dans les coulisses du pouvoir.
Et s’il relayait des informations sans le savoir ?
Et s’il couvrait des opérations en croyant servir la justice ?
Et si, dans le pire des scénarios, il devenait… un levier de contrôle contre Batman lui-même ?
Ce que cela changerait dans la dynamique du film
Faire de Gordon un pion involontaire du mal serait un choix radical.
Mais terriblement efficace sur le plan dramatique.
Cela permettrait :
- De casser la dernière relation de confiance de Bruce Wayne
- D’explorer un Gotham encore plus paranoïaque, où personne n’est fiable
- D’imposer un ennemi sans costume, sans armes, mais terriblement dangereux
Et surtout, cela rendrait la suite encore plus personnelle.
Ce n’est plus une lutte contre le crime : c’est une guerre de conscience.
Un retournement cohérent avec l’univers de Reeves
Matt Reeves a clairement annoncé son intention de creuser la psychologie des personnages.
Et dans un monde où tout est trouble, la vraie tragédie n’est pas de perdre un allié… mais de le voir se retourner sans même le vouloir.
Ce ne serait pas la première fois dans l’histoire de Batman qu’un personnage aimé devient l’un des moteurs du chaos.
Mais ce serait peut-être… la plus douloureuse.
Et celle que Bruce ne verrait venir qu’au dernier moment.